Catalogues d’expositions

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A partir d’une matière ordinaire, la glace, nous proposons une navigation dans l’espace-temps où photo et vidéo sont non seulement symbiotiques mais complémentaires, le mouvement quasi hypnotique du film faisant écho à l’harmonie et à la force des photographies.
La glace est faite d’eau. Dans la mer, il y a beaucoup d’eau… mais de moins en moins de glace.
Des images inhabituelles pour découvrir, d’une autre façon, ce qui nous semble à priori tellement banal, à portée de main, si proche.
A moins que cela ne soit si loin…
On the rocks :

Galerie Art’Gentiers, Bordeaux, 20 janvier – 11 mars 2023
International Multihull Yacht Show, La Grande Motte, 12 – 16 avril 2023
A. Galerie, sélection de trois tirages grand format, BAD+ Art Fair, Bordeaux, 4 – 7 mai 2023


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Pivoines blanches,
Dit-on
Un peu de rouge, pourtant

Takahama Kyoshi, 1874-1959

Court et concis un haïku incite à la réflexion, à l’imagination, au transport de l’esprit…
Un haïku évoque, suggère, invite à la contemplation et à la méditation. Par sa sobriété il éveille notre imagination en la démultipliant tel un guide à la fois savant, secret et délicat…
La sensibilité, l’imagination et les émotions sont humaines et universelles. Les cultures différentes, au travers de leurs prismes, les font s’exprimer distinctement, mais le fond reste le même ! Il appartient au lecteur de créer son propre univers… D’inventer, d’envisager, de se projeter au delà des simples mots. En hommes d’image(s) nous optons pour des métaphores visuelles qui ne sont surtout pas des tentatives de traductions mais plutôt des transgressions, des inspirations, des respirations qu’à notre tour nous offrons aux regards comme autant de phonèmes surprenants.

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Le Noir est l’origine. Avec l’apparition de la lumière des NOIRS différents se sont révélés, multiples, sensibles, fragiles mais avec quelle présence ! Des NOIRS qui naissent de la privation de lumière, des NOIRS reflets de non-reflets, sorte d’anti-lumière qui nous font découvrir couleurs, lumières et matières. Ils soulignent, révèlent, nous font prendre conscience de richesses si proches. Magiques, simples, quotidiennes.
Nous avons pris comme point de départ des réalités matérielles, spatiales propices à l’imaginaire, on pourra être tenté de reconnaître peaux, minéraux, chais, route, montagne, eau, mer, étoiles, charbon, tissus technique, boulons ou danseuse. Mais a-t-on vraiment besoin de ces identifications éclectiques ? Ce ne sont que des points de départs, des initialisations, des suspensions du temps, comme des arrêts sur image magistralement mis en lumières par les NOIRS…
Parce que la lumière est notre pinceau, nous avions envie de continuer à jouer, rêver, chercher encore plus loin… De percer des trous pour la lumière.
NOIRS a été exposé deux fois, en juin 2018 dans la galerie d’art du Relais & Châteaux Le Saint-James et en avril 2019 à La Grande Motte. Ce catalogue est celui  de cette dernière.


Après nos récentes expositions photographiques et vidéos, nous poursuivons notre quête, cette fois-ci au travers du prisme de la couleur…
Cette exposition est le reflet de notre vision, volontairement douce et poétique, sur l’instant d’avant la rencontre, sur le premier regard. Elle s’arrête aux premiers tourbillons quand le verre se met à tourner mettant la couleur en mouvement… Juste avant la passation aux autres sens, car la suite est une autre histoire… Belle !


Bateaux, châteaux et gâteaux rivalisent d’élégance, de magie, voire de mystère…
Après nos dernières expositions photographiques et vidéos, l’évidence nous est venue de devoir poursuivre sur un thème encore plus riche et varié, de parcourir des domaines différents où, pour notre plus grand bonheur, l’esprit et la main de l’homme façonnent et excellent.


La coutume est de montrer les châteaux bordelais à l’été ou à l’automne pendant les vendanges, alors que la lumière est chaleureuse, les raisins mûrs et bien charnus. Mais que se passe-t-il l’hiver, alors que la vigne se repose et que les sarments sont coupés, que le le temps semble ralenti, comme suspendu ? Cette exposition n’est pas un reportage stricto sensu, plutôt une ballade poétique, onirique mais réaliste, non exhaustive, des trois vignobles. Des images qui montrent la finesse, le romantisme là où la douceur des couleurs contribue à la beauté et à l’émotion.


Lorsque nous avons proposé notre collaboration à Marc Van Peteghem nous n’avions pas de connaissance particulière du Bangladesh mais nous désirions aborder le sujet sans misérabilisme, montrer la beauté et la fierté des Bengalis et de leur pays. Tenter de nous approcher, d’apporter notre regard empathique, de terriens à terriens. Nous avons été servis !
Notre ambition n’a pas été de décrire l’action de Watever, elle le fait très bien. Ni d’expliquer le besoin d’intervenir au Bangladesh, il nous semble évident.
Nous avons simplement ressenti la nécessité de montrer l’environnement dans lequel Watever travaille, notre but avoué étant de provoquer le désir de contribuer financièrement à son action en acquérant des tirages et/ou le film.
Le travail de Watever est humble, sérieux, responsable et nécessite beaucoup d’investissements humain et financier.
Puisse cette exposition vous inciter à les aider !

Romain et Nicolas Claris
Chittagong, Bangladesh Avril 2013
Un travail entièrement contributif, tous les bénéfices vont à l’ONG Watever.